Mark Et Max 04 – Sur Le Fil

Comme tous les matins de la semaine, j’opère avec la même dynamique : levé, manger, se préparer, partir en cours. J’avoue que je n’étais pas aussi opérationnel que d’habitude à cause d’y hier. J’avais quand même mal au cul et voir Maxence tirer la gueule de si bon matin n’arrangeait rien. Je ne lui sorti pas un seul mot et filai retrouver Thomas qui m’attendait pour aller en cours. Je lui parlai de la soirée d’y hier en évitant les détails parce que ça ne l’intéresse pas et je n’aime pas parler de mes exploits non plus. Il note aussi le fait qu’on dirait que Maxence est jaloux mais sans non plus rentrer dans des théories folles.
La matinée se passa comme une matinée de cours. Nous étions en train de manger quand je reçu un appel de Pauline. Elle semblait assez perturbée. Elle me parla du comportement de Maxence hier et ne comprenait pas ce qu’il se passait. Je lui répondis que j’étais au même point qu’elle et qu’il était très bizarre avec moi. J’en profitai pour lui demander s’il c’était passé quelque chose entre eux et elle me dit qu’ils ont commencés à le faire dans la voiture mais qu’en plein milieu de l’acte il s’est bloqué et ne voulait plus continuer. Elle m’a aussi dit que son comportement a changé au moment où l’on s’est vu au restaurant et qu’elle pense que je dois avoir un lien là-dedans. J’approuve sa théorie étant donné qu’il semble en colère contre moi. J’omets de lui parler de nos petits extras car elle ferait direct le lien et je ne veux pas que ça se sache. On finit par raccrocher et j’entamai la deuxième partie de la journée.
17h arriva rapidement et je filai chez moi en espérant chopper Maxence pour avoir une discussion. Mais je ne m’attendais pas à être pris de court en débarquant dans l’appart. En effet, en entrant je tombai face à Maxence qui était assis sur une chaise à fixer le mur. A ma vue, il sembla s’extirper de ses pensées et prit un air grave. Il pris une respiration, me demanda de m’asseoir et entama la discussion
« Je vais quitter la colocation.

»
« Pardon ? Tu m’annonces ça comme ça ? Et pourquoi ? »
« Parce que je ne peux pas continuer de vivre avec toi. C’est beaucoup trop compliqué… Depuis que l’on s’est embrassé le samedi soir, je n’ai pas arrêté d’être tiraillé et ça me fait souffrir. Je n’arrive plus à te voir sans repenser à ça et c’est encore pire depuis que l’on a recommencé ça… »
« Euh okey mais la seconde fois il me semble que c’était consentent et réfléchit ! D’autant plus que tu es revenu après ta soirée sans que je ne te demande rien. »
« Tu ne comprends donc pas ? Je ne sais plus où j’en suis !! C’est la première fois que je vis ça et je ne sais même pas si c’est une bonne chose ou pas. J’essaye de me persuader que ce n’est rien qu’une expérience mais à chaque fois que je te vois mes émotions s’emmêlent et je ne sais plus quoi penser. Hier quand je t’ai vu avec ce gars, j’ai ressenti tellement de jalousie et de haine envers lui ! J’ai même pas pu coucher décemment avec Pauline tellement tu m’obsédais l’esprit ! »
« Attends t’es en train de dire que t’étais jaloux de moi alors que t’étais avec ta copine ? »
« Non j’étais jaloux de ton plan cul pas de toi ! Tu le fais exprès ou quoi ! Tu veux que je te le dise en réel c’est ça ? Mark tu me plais et c’est juste insupportable de devoir t’imaginer avoir couché un gars autre que moi !!! »
Je pense qu’à cet instant mon esprit s’est décomposé. J’étais en face du mec qui me fait fantasmer depuis que je l’ai vu et il vient de me dire qu’il avait craqué pour moi. J’essayais par tous les moyens de me dire que j’avais mal compris mais non ses mots étaient clairs. Je n’eus pas de réaction pendant quelques minutes à le fixer. Il ne pouvait plus attendre et dans une dernière phrase, il me dit qu’il allait faire ses affaires et partir demain. J’étais tellement abasourdi que je ne le regardai même pas partir et restait là à fixer le mur. Un rictus commençait à prendre place sur mon visage et soudainement je compris qu’il était parti.
Je me réveillai brusquement et couru dans sa chambre. Il eut à peine le temps de se retourner que je lui sautai dessus pour l’embrasser. Nous nous écrasâmes dans un premier temps sur son lit puis nos lèvres se joignirent pour sceller ses paroles.
« Ne pars pas ! Dès notre premier regard je suis tombé amoureux de toi ! Je n’aurais jamais pensé que c’était réciproque et préférais me voiler la face. Maintenant que je sais, ne pars pas s’il te plait sinon c’est moi qui souffrirai encore plus. »
Un sourire traversa son visage et ses mains vinrent enserrées ma tête pour l’approcher de ses lèvres. Nos langues s’enlacèrent et j’oubliai toute ma vie pour ne penser qu’à ce moment magique. Il n’avait rien en commun avec les deux autres baisers qui étaient en particulier à sens unique. Ici, il venait de me dire qu’il m’aimait et ce baiser était partager avec force et envie après ces dernières semaines difficiles pour nous deux. Je commençai à parcourir son cou avec ma langue quand une clé tourna dans la serrure de la porte d’entrée. Nous avions complètement oublié que Fiona allait arriver d’un instant à l’autre et nous sursautâmes comme si nous venions d’être surpris par quelqu’un. Mais heureusement, nous avons le temps de reprendre une position décente et c’est assis sur le lit qu’elle nous découvrit. Nous abordions un large sourire et elle exprima sa joie de nous voir réconcilier. Mais en tournant la tête elle aperçut des cartons dans la chambre de Maxence et s’interrogea sur leur présence.
« Ah ça c’est rien, juste moi qui voulait faire un peu de rangement et balancer des trucs mais au final c’était une mauvaise idée parce que j’ai la flemme de continuer… »
Nous éclatâmes les trois de rire et Fiona parti dans sa chambre. A peine avait-elle passé l’encadrement de la porte que je sautai sur Maxence pour l’embrasser tant j’étais heureux qu’il reste. Le souci c’est que maintenant j’ai trop envie de lui et que c’est juste pas possible. Je vis qu’il était dans le même état que moi et je lui promis de nous trouver un moment que les deux pour pouvoir fêter ça plus dignement.
Il sourit et m’embrassa. Je me sentais si heureux.
Il fallait maintenant réfléchir à un subterfuge pour se retrouver seul et je n’avais vraiment aucune idée. Je réfléchissais, réfléchissais. J’étais allongé sur le canapé à jouer avec une balle en réfléchissant quand Maxence entra dans la pièce arborant un large sourire. Bingo ! Je venais de trouver.
« Max, j’ai une idée ! Par contre elle est un peu salaud mais bon faudra bien y passer un jour donc autant que ça nous soit profitable. En gros, t’appelles Pauline et tu la lâche. Elle pleure et veut être réconforté. Là on fait rentrer en jeu Fiona en lui disant que tu l’as lâché et qu’elle doit être triste et seule. Connaissant Fiona elle ira passer la soirée chez elle et là on aura tout le loisir de faire ce qu’on veut ! »
Maxence était dubitatif en pesant le pour et le contre mais il finit par acquiescer et il partit dans sa chambre. Il en ressort souriant en déclarant la première partie opérationnelle. Nous attendîmes quelques minutes et mon portable vibra. Pauline m’annonce la nouvelle et met en lumière son comportement bizarre. Je la réconfortai par sms un petit coup avant d’en parler à Fiona. Comme prévu, elle l’appela direct et après une discussion elles conviennent une soirée fille et Fiona partit pour la nuit chez Pauline.
Pendant que Fiona se préparait, nous en profitâmes pour nous doucher. J’insistai bien au niveau rectal au cas où que ce soit moi qui passe à la trappe. Je pense que c’est ce qui me parait le plus crédible étant donné que ça sera sa première fois avec un gars. Rien que d’y penser, je bande comme pas possible. Mais interdiction de se toucher maintenant car je veux me réserver entièrement à Maxence. D’ailleurs j’étais tellement obnubilé dans mes pensées que je n’avais même pas fait gaffe qu’il était là dans la salle de bain, nu. Il entra dans la douche et m’embrassa.
« Je me suis dit qu’il serait peut-être mieux de faire des économies d’eau. On pense jamais assez à la planète.
»
Il sourit et m’embrassa de nouveau. Je sentais l’eau ruisseler sur nos corps et j’avais l’impression qu’elle devenait de plus en plus chaude. Son corps musclé touchait le mien et nos sexes se frottaient l’un contre l’autre. Enfin ils essayaient car je bandais tellement que ça rendait la tâche un peu plus compliquée. Nous nous embrassâmes quelques minutes puis Maxence coupa l’eau. Il m’embrassa le cou, puis les pectoraux en passant bien sur les tétons. Il descendit ensuite au abdos pour finir à genou face à ma queue droite comme un bâton. J’étais surpris de cette initiative et je ne voulais pas qu’il se sente obligé à faire ça s’il n’avait pas envie.
« Tu sais si tu te sens pas prêt je peux attendre. »
« Allez ta gueule et profites. »
Sur ces mots, il enfonça sa bouche sur mon pieu et commença à me sucer. Instinctivement je fermai les yeux et levai la tête en arrière. Ma main accompagnait le mouvement sur sa tête et mon bassin ondulait avec délicatesse. Même si ce n’était pas la meilleure pipe de ma vie je n’en avais rien à foutre car c’était Maxence. Il pourrait même me mordre et faire n’importe quoi que je kifferais encore. Je le voyais se branler en même temps et la scène était vraiment hot. Non ce n’était pas la scène qui était hot, c’était lui tout simplement. Il est tellement magnifique que je pourrais l’observer des heures sans bouger. Après cinq dix minutes, il se releva pour me rouler une pelle. Je relançai l’eau pour nous mouiller avant d’appliquer le savon sur le corps de Maxence qui n’était pas encore douché. Mes mains parcouraient son corps d’Apollon laissant des trainées de mousse derrière. J’observais le moindre de ses muscles et tombais amoureux des moindres parcelles de son corps. Au moment de savonner son sexe, j’entamai une petite branlette pour lui faire du bien. On se fixe dans les yeux pour échanger en un regard toute la passion qui nous dévore. Après avoir bien lavé son gland, je le retournai pour le coller au mur et savonner son dos. Je continuai plus bas pour arriver à ses fesses. Je n’avais pas encore eu le temps de vraiment les admirer et il faut dire qu’il me ferait presque de la concurrence. Elles étaient parfaites et bien rondes et fermes. Si je n’étais pas persuadé d’avoir le plus beau cul de la planète, je lui aurais donné le prix sans hésitation. J’introduis mes doigts dans sa raie pour écarter ses deux bulbes. J’y découvris une rosette bien fermée. Je la caressais avec mes doigts mousseux et Max poussait des petits gémissements. J’avais trop envie d’y introduire un doigt et je commençai donc un travail de dilation en insérant un premier doigt. La mousse aidant, il rentra plutôt facilement. Max gémissait et disait avoir un peu mal. Rien d’étonnant avec ce cul si serré. Je lui conseillai de se détendre car son sphincter serait plus facile à dilater. Il se relaxa et je commençai quelques vas et viens. Lorsqu’il prit l’habitude, je forçai un peu le passage pour accueillir un deuxième doigt. Même procédé que pour tout à l’heure à l’exception qu’il acceptait plus facilement et poussait même des petits jappements de jouissance. Je retirai mes doigts et vins me coller à lui pour l’enlacer et l’embrasser avant de relancer l’eau pour le rincer. On sorti de la douche pour se sécher tout en s’embrassant. Tout se faisait en douceur et tendresse et j’aimais beaucoup ça.
« Tu veux qu’on aille dans quelle chambre Max ? »
« Celle que tu veux ! »
« Dans la tienne, comme ça tous les soirs quand tu te coucheras tu repenseras à cette soirée. »
Nos sourires trahissaient la passion qui nous animait et il était dur de ne pas s’embrasser toutes les deux secondes. Je m’allongeai sur lui et me baissai de façon à lui faire à mon tour une fellation. J’y mettais tout mon être et mon amour. Je voulais que ça soit la pipe dont il se rappelle toute sa vie. Après avoir passé de nombreuses minutes sur sa queue, je relevai ses jambes pour avoir accès à son trou. Je m’approchai de son trou avec ma langue et à son contact, Max poussa un gros soupir. Il aimait ce contact et m’encourageait à continuer. J’y risquai un doigt, puis rapidement un deuxième vu que j’avais commencé la dilatation sous la douche. Mais il ne mouillait pas assez pour faire des allers retours sans le gêner. Je lui demandai du lubrifiant que j’appliquai sur mes doigts et sur son trou. Ça rentra tout de suite mieux et avec la fraîcheur du gel, Max parti une nouvelle fois dans des gémissements de plus en plus prononcés.
« Est-ce que tu veux qu’on le fasse maintenant ou tu ne te sens pas de le faire aujourd’hui ? »
« Non ça va maintenant que t’es parti. Mais fais attention, j’ai peur d’avoir mal… »
« T’inquiètes, jamais je te ferais mal. J’irais en douceur pour que tu puisses kiffer au max et te rappeler de ta première fois pour toute ta vie. »
« Pas besoin de ça pour que je m’en rappelle toute ma vie ! Le faire avec toi me suffit. »
Il avait vraiment les mots pour me faire sourire et m’exciter. Je pris une capote sur la table de chevet et m’approchai de son trou. Il était en face de moi les jambes écartées avec un doute et une petite peur dans ses yeux. Je l’embrassai et le rassurai tout en approchant ma queue de son trou. Au moment de m’enfoncer en lui, je l’embrassai à pleine bouche et mes mains parcouraient son corps. Il poussa un premier petit cri suivit d’un soupir de soulagement. J’avais mis tous mes centimètres et il les a pris sans avoir trop mal. Il me regardait en souriant et touchait mes pectoraux avec ses mains. Je me stoppai quelques secondes avant d’entamer des vas et vient. Son souffle se saccadait au rythme que je le pénétrais et il fermait les yeux pour kiffer encore plus les sensations. Je finis par accélérer le mouvement et ne pouvant plus retenir ses jouissements, il laissa échapper plusieurs exclamations. Il m’encourageait à continuer et on voyait qu’il aimait ça. J’empoignais sa bite pour le branler en même temps que je l’enculais. Nous continuons cela quelques minutes avant de changer de position pour que je le prenne en cuillère. Nous passons ensuite à la levrette pour accélérer le rythme. On finit par le missionnaire où il s’encule seul sur mon pieu. Mon regard dans le sien. Je le désire tellement et me sentir en lui est la plus belle chose que je pouvais rêver. Il s’empalait sur moi comme s’il l’avait déjà fait des centaines de fois. Je le regardais se branler en même temps et cela m’excitais au plus haut point. Je savais que je n’allais pas tenir longtemps encore dans cette position mais je remarquai que Max allait pas tarder à venir aussi. Ses traits se tendirent et sans s’arrêter de s’empaler sur ma queue, il lâcha plusieurs jets de sperme qui atterrirent sur mon torse et un peu sur mon visage. Cette vision orgasmique aura eu raison de moi et, tout en accélérant le rythme en appuyant sur ses hanches, j’éjaculai. Max s’effondra sur moi et vint se blottir contre moi tout en prenant soin d’enlever la capote de ma queue. J’étais si bien.
« Merci Max, c’était le plus beau jour de ma vie »
« Non c’est moi qui te remercie et permets-moi de te contredire mais c’est pas le dernier car beaucoup d’autres vont suivre. »
Il sourit et m’embrassa avec tendresse me laissant planer encore quelques minutes.
Mais la faim se fit ressentir et, dans l’impuissance de se faire à manger, nous commandâmes un chinois à domicile. Après avoir reçu la commande nous mangeâmes en amoureux. La soirée était parfaite ! Après le repas, Max proposa de se mettre devant un film et je choisis un film bien long histoire d’avoir bien le temps de me blottir dans ses bras avant le retour de Fiona. Je finis par m’endormir dans ses bras musclés et à mon réveil le film était fini. Max me dit que ça faisait déjà un moment mais qu’il était trop bien avec moi contre lui pour me réveiller. Je me levai et regardai mon portable. Fiona m’avait envoyé un sms pour me dire qu’elle dormirait finalement chez Pauline et qu’elle irait directement demain au taff. Je gardai ce message pour moi et n’en dit aucun mot à Max pour lui faire la surprise. Comme convenu, nous regagnions chacun notre chambre pour ne pas que Fiona nous surprenne. Max a du mal à se détacher de moi et je mime de faire la même chose car je sais déjà que je le rejoindrais dans quelques minutes. Pour que la surprise soit encore mieux, j’attendis 15 minutes dans ma chambre. Surement les minutes les plus longues de ma vie. A la fin du temps imparti, je rejoignis sans un bruit le lit de Max pour me glisser sous les draps et me blottir contre lui. Il m’enlaça presque instantanément sans dire un mot et en m’embrassant. C’est seulement quelques minutes après qu’il percute.
« Tu devrais retourner dans ton lit, Fiona va rentrer d’une minute à l’autre. »
« Et si je te disais qu’elle dormait chez Pauline et qu’elle ne rentre que demain soir ? »
Mon regard plein d’envie traversa la nuit et son sourire me poussa à l’embrasser avec passion. L’ambiance se réchauffa et je sentais qu’on était parti pour un second round. On finit par refaire l’amour où cette fois-ci c’est lui qui m’encula. Il était d’une telle tendresse que j’aurais voulu que ça dure des heures. On finit par s’endormir le sourire aux lèvres et avec le sentiment que l’avenir allait être encore meilleur.

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!